dimanche 2 décembre 2018

France Théâtre / MATER LINGUA: "Révolution" 13 décembre 2018 : San Francisco - Maxime Le Forestier - Une belle histoire - Michel Fugain - La poupée qui fait non - Michel Polnareff - Les cactus - Jacques Dutronc







Voici les dernières chansons de 

Révolution L'imagination au pouvoir 

 13 décembre (Sainte Lucie !)..

Dans l'attente de travailler avec 
Madame Manu Filipposi  






C'est une maison bleue
Adossée à la colline
On y vient à pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent là, ont jeté la clé
On se retrouve ensemble
Après des années de route
Et l'on vient s'asseoir autour du repas
Tout le monde est là, à cinq heures du soir
San Francisco s'embrume
San Francisco s'allume
San Francisco, où êtes vous
Lizzard et Luc, Psylvia, attendez moi

Nageant dans le brouillard
Enlacés, roulant dans l'herbe
On écoutera Tom à la guitare
Phil à la kena, jusqu'à la nuit noire
Un autre arrivera
Pour nous dire des nouvelles
D'un qui reviendra dans un an ou deux
Puisqu'il est heureux, on s'endormira
San Francisco se lève San Francisco se lève
San Francisco ! où êtes vous
Lizzard et Luc, Psylvia, attendez-moi

C'est une maison bleue
Accrochée à ma mémoire
On y vient à pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent là, ont jeté la clef
Peuplée de cheveux longs
De grands lits et de musique
Peuplée de lumière, et peuplée de fous
Elle sera dernière à rester debout
Si San Francisco s'effondre
Si San Francisco s'effondre
San Francisco !
Où êtes vous
Lizzard et Luc, Psylvia, attendez-moi 



C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main
Un cadeau de la providence
Alors pourquoi penser au lendemain

Ils se sont cachés dans un grand champ de blé
Se laissant porter par les courants
Se sont racontés leur vies qui commençaient
Ils n'étaient encore que des enfants, des enfants
Qui s'étaient trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Qui cueillirent le ciel au creux de leurs mains
Comme on cueille la providence
Refusant de penser au lendemain
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont quittés au bord du matin
Sur l'autoroute des vacances
C'était fini le jour de chance
Ils reprirent alors chacun leur chemin
Saluèrent la providence en se faisant un signe de la main
Il rentra chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle est descendue là-bas dans le midi
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui


C'est une poupée qui fait non...non...non...non...
Toute la journée elle fait non...non..non...non...
Elle est... elle est tellement jolie
Que j'en rêve la nuit
C'est une poupée qui fait non...non...non...non...
Toute la journée, elle fait non...non...non..non...
Personne ne lui a jamais appris
Qu'on pouvait dire oui.
Non...non...non...non...
Non...non...non...non...
Sans même écouter, elle fait non...non...non...non...
Sans même regarder, elle fait non...non...non...non...
Pourtant je donnerais ma vie
Pourqu'elle dise oui
Mais c'est une poupée qui fait non...non...non...non...
Toute la journée elle fait non...non...non...non...
Personne ne lui a jamais appris
Que l'on peut dire oui...
Non...non...non...non...
Non...non...non...non...


Le monde entier est un cactus
Il est impossible de s'asseoir
Dans la vie, il n’y a que des cactus
Moi je me pique de le savoir
Aïe ! aïe ! aïe !, ouille !, aïe ! aïe ! aïe !

Dans leurs cœurs, il y a des cactus
Dans leurs portefeuille, il y a des cactus
Sous leurs pieds, il y a des cactus
Dans l’heure qu’il est, il y a des cactus
Aïe ! aïe ! aïe !, ouille ! ouille ! ouille !, aïe !

Pour me défendre de leur cactus
A mon tour j'ai pris des cactus
Dans mon lit, j'ai mis des cactus
Dans mon slip, j'ai mis des cactus
Aïe ! aïe ! aïe !, ouille !, aïe ! aïe ! aïe !

Dans leurs sourires, il y a des cactus
Dans leurs ventres, il y a des cactus



Dans leur bonjour, il y a des cactus
Dans leurs cactus, il y a des cactus
Aïe ! aïe ! aïe !, ouille !, aïe !

Le monde entier est un cactus
Il est impossible de s'asseoir
Dans la vie, il y a des cactus
Moi je me pique de le savoir
Aïe ! aïe ! aïe !, ouille ! ouille !