L'oeuvre de Flaubert témoigne d'une lutte constante entre une tendance "romantique" et une existence "réaliste".
Flaubert le disait lui-même:"Il y a en moi deux bonshommes distincts , un épris de gueulades, de lyrisme, de grands vols d'aigle, de toutes les sonorités de la phrase et des sommets de l'idée; un autre qui creuse et qui fouille le vrai tant qu'il peut, qui aime à accuser le petit fait aussi puissament que le grand, qui voudrait vous faire sentir presque matériellement les choses qu'il reproduit"
Correspondances, janvier 1852
Du Romantisme au Réalisme