Jeunesse lève-toi!
Merci à Elisa C. de I D ESABAC
qui m'a proposé ce chanteur
ces jours-ci il est difficile de comprendre ce qui se passe
dans le Pays des Lumières ...
souhaitons que cette nuit soit brève
Comme un éclat de rire
Vient consoler tristesse
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises
Comme un parfum de soufre
Qui fait naître la flamme
Jeunesse lève-toi
Contre la vie qui va qui vient
Puis qui s'éteint
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient
Mais qui tient pas
Contre la trace qui s'efface
Au derrière de soi
Jeunesse lève-toi
Moi, contre ton épaule
Je repars à la lutte
Contre les gravités qui nous mènent à la chute
Pour faire du bruit encore
A réveiller les morts
Pour redonner éclat
A l'émeraude en toi
Pour rendre au crépuscule
La beauté des aurores
Dis-moi qu'on brûle encore
Dis-moi que brûle encore cet espoir que tu tiens
Parce que tu n'en sais rien de la fougue et du feu
Que je vois dans tes yeux
Jeunesse lève-toi
Quand tu vois comme on pleure
A chaque rue sa peine
Comment on nous écoeure
Perfusion dans la veine
A l'ombre du faisceau
Mon vieux, tu m'auras plus
Ami, dis, quand viendra la crue ?
Contre-courant toujours sont les contre-cultures
Au gré des émissions, leurs gueules de vide-ordures
Puisque c'en est sonné la mort du politique
L'heure est aux rêves
Aux utopiques
Pour faire nos ADN
Un peu plus équitables
Pour faire de la poussière
Un peu plus que du sable
Dans ce triste pays
Tu sais, un jour ou l'autre
Faudra tuer le père
Faire entendre ta voix
Jeunesse lève-toi
Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l'âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame
Puisqu'ici, il n'y a qu'au combat qu'on est libre
De ton triste sommeil, je t'en prie, libère-toi
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts ?
Ne vois-tu pas le ciel à portée des doigts ?
Jeunesse lève-toi
Comme un éclat de rire
Vient consoler tristesse
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises,
Comme un parfum de soufre
Qui fait naître la flamme
Quand, plongé dans le gouffre, on sait plus où est l'âme
Jeunesse lève-toi
Contre la vie qui va, qui vient
Puis qui nous perd
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient
Puis qu'on enterre
Contre la trace qui s'efface
Au derrière de soi
Jeunesse lève-toi
Jeunesse lève-toi !
Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l'âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame
Puisqu'ici, il n'y a qu'au combat qu'on est libre
De ton triste coma, je t'en prie, libère-toi
Puisqu'ici, il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts
A la mémoire de ceux qui sont tombés pour toi ?
Jeunesse lève-toi !
Vient consoler tristesse
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises
Comme un parfum de soufre
Qui fait naître la flamme
Jeunesse lève-toi
Contre la vie qui va qui vient
Puis qui s'éteint
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient
Mais qui tient pas
Contre la trace qui s'efface
Au derrière de soi
Jeunesse lève-toi
Moi, contre ton épaule
Je repars à la lutte
Contre les gravités qui nous mènent à la chute
Pour faire du bruit encore
A réveiller les morts
Pour redonner éclat
A l'émeraude en toi
Pour rendre au crépuscule
La beauté des aurores
Dis-moi qu'on brûle encore
Dis-moi que brûle encore cet espoir que tu tiens
Parce que tu n'en sais rien de la fougue et du feu
Que je vois dans tes yeux
Jeunesse lève-toi
Quand tu vois comme on pleure
A chaque rue sa peine
Comment on nous écoeure
Perfusion dans la veine
A l'ombre du faisceau
Mon vieux, tu m'auras plus
Ami, dis, quand viendra la crue ?
Contre-courant toujours sont les contre-cultures
Au gré des émissions, leurs gueules de vide-ordures
Puisque c'en est sonné la mort du politique
L'heure est aux rêves
Aux utopiques
Pour faire nos ADN
Un peu plus équitables
Pour faire de la poussière
Un peu plus que du sable
Dans ce triste pays
Tu sais, un jour ou l'autre
Faudra tuer le père
Faire entendre ta voix
Jeunesse lève-toi
Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l'âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame
Puisqu'ici, il n'y a qu'au combat qu'on est libre
De ton triste sommeil, je t'en prie, libère-toi
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts ?
Ne vois-tu pas le ciel à portée des doigts ?
Jeunesse lève-toi
Comme un éclat de rire
Vient consoler tristesse
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises,
Comme un parfum de soufre
Qui fait naître la flamme
Quand, plongé dans le gouffre, on sait plus où est l'âme
Jeunesse lève-toi
Contre la vie qui va, qui vient
Puis qui nous perd
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient
Puis qu'on enterre
Contre la trace qui s'efface
Au derrière de soi
Jeunesse lève-toi
Jeunesse lève-toi !
Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l'âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame
Puisqu'ici, il n'y a qu'au combat qu'on est libre
De ton triste coma, je t'en prie, libère-toi
Puisqu'ici, il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts
A la mémoire de ceux qui sont tombés pour toi ?
Jeunesse lève-toi !
Encore un jour se léve sur la planète France
Je sors doucement de mes rêves
Je rentre dans la danse comme toujours
Il est huit heures du soir
J'ai dormi tout le jour
Je me suis encore couché trop tard
Je me suis rendu sourd
Encore, encore une soirée où la jeunesse France
Encore, elle va bien s'amuser puisqu'ici rien n'a de sens
Alors on va danser, faire semblant d'être heureux
Pour aller gentiment se coucher mais demain rien ira mieux
Refrain :
Puisque on est jeune et con
Puisque ils sont vieux et fous
Puisque des hommes crévent sous les ponts
Et ce monde s'en fout
Puisqu'on est que des pions
Contents d'être à genoux
Puisque je sais qu'un jour nous gagnerons à devenir fous
Devenir fous, devenir fous...
Encore un jour se léve sur la planète France
Mais j'ai depuis longtemps perdu mes rêves
Je connais trop la danse
Comme toujours, il est huit heures du soir j'ai dormi tout le jour
Je sais qu'on est quelques milliards ? chercher l'amour
Encore, encore une soirée où la jeunesse france
Encore, elle va bien s'amuser dans cet état d'urgence
Alors elle va danser faire semblant d'exister
Qui sait ?
Si on ferme les yeux on vivra vieux
Refrain
Puisque on est jeune et con
Puisque ils sont vieux et fous
Puique les hommes crévent sous les ponts
Et ce monde s'enfout
Puisqu'on est que des pions
Contents d'être à genoux
Puisque je sais qu'un jour nous gagnerons à devenir fous
Devenir fous, devenir fous...
Encore un jour se léve sur la jeunesse france
J'ai perdu mes rêves, je connais trop la danse
Je sais qu'on est quelques milliards
Encore un jour se léve sur la planète France
Mais j'ai depuis longtemps perdu mes rêves
Je connais trop la danse
Comme toujours, il est huit heures du soir
J'ai dormi tout le jour
Je sais qu'on est quelques milliards
A chercher l'amour
Je sors doucement de mes rêves
Je rentre dans la danse comme toujours
Il est huit heures du soir
J'ai dormi tout le jour
Je me suis encore couché trop tard
Je me suis rendu sourd
Encore, encore une soirée où la jeunesse France
Encore, elle va bien s'amuser puisqu'ici rien n'a de sens
Alors on va danser, faire semblant d'être heureux
Pour aller gentiment se coucher mais demain rien ira mieux
Refrain :
Puisque on est jeune et con
Puisque ils sont vieux et fous
Puisque des hommes crévent sous les ponts
Et ce monde s'en fout
Puisqu'on est que des pions
Contents d'être à genoux
Puisque je sais qu'un jour nous gagnerons à devenir fous
Devenir fous, devenir fous...
Encore un jour se léve sur la planète France
Mais j'ai depuis longtemps perdu mes rêves
Je connais trop la danse
Comme toujours, il est huit heures du soir j'ai dormi tout le jour
Je sais qu'on est quelques milliards ? chercher l'amour
Encore, encore une soirée où la jeunesse france
Encore, elle va bien s'amuser dans cet état d'urgence
Alors elle va danser faire semblant d'exister
Qui sait ?
Si on ferme les yeux on vivra vieux
Refrain
Puisque on est jeune et con
Puisque ils sont vieux et fous
Puique les hommes crévent sous les ponts
Et ce monde s'enfout
Puisqu'on est que des pions
Contents d'être à genoux
Puisque je sais qu'un jour nous gagnerons à devenir fous
Devenir fous, devenir fous...
Encore un jour se léve sur la jeunesse france
J'ai perdu mes rêves, je connais trop la danse
Je sais qu'on est quelques milliards
Encore un jour se léve sur la planète France
Mais j'ai depuis longtemps perdu mes rêves
Je connais trop la danse
Comme toujours, il est huit heures du soir
J'ai dormi tout le jour
Je sais qu'on est quelques milliards
A chercher l'amour
Il se lève,
il y repense,
il ne parle pas à ses vieux,
il prend le bus,
le mp3 y'a du métal dans les oreilles.
Il voit les vies de tous ces gens qui s'en vont droit aux abattoirs,
cet inutile qui nous surprend parfois qu'on verrait l'espoir.
Les pom-pom girls ont les regards
des soleils noirs,
elles ont l'odeur des cheeseburgers prêtes à bouffer,
elles ont l'odeur de la CB.
Les salles de classes qui se répètent,
les profs' qui ont tous l'air défoncés,
y a des matrix sur des tableaux,
trop d'inconnues dans l'équation.
Dans le bus, le tramway,
dans les cours des lycées,
dans les fabriques à chômeurs,
oui dans les salles des professeurs.
On est foutu, on est cerné,
passer l'éponge ou la jeter ?
Prendre les gants , aller boxer
dans les manifs',
dans les cocktails,
dans les soirées
sous le soleil.
Faut voir le niveau des musiques et les modèles de sociétés,
faut voir les radios qu'on écoute,
de quoi on parle dans les récrés,
faut voir les strings en apparence, dans les collèges, la jeunesse,
plus c'est vulgaire et plus ça fait mouiller le corps de nos armées.
C'est les Gucci, c'est du goût d'chiottes,
c'est le syndrome de nos époques,
c'est du Chanel, c'est du Dolce,
tu fais la belle et ça te plaît.
C'est du consommable, toujours.
Dis-moi c'est quand qu'on fait l'amour à d'autres qu'a des gilets pare-balles, qu'a des vérités qui font mal ?
Dans le bus, les tramways,
dans les cours des lycées,
dans les fabriques à chômeurs,
ouais dans les salles des professeurs.
On est foutu, on est cerné,
dans les couloirs, dans les allées,
dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées
sous le soleil ..
dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées
sous le soleil.
Sûr au pays des teenagers
c'est du Gucci, c'est du goût d'chiottes.
Malheur à qui parle du cœur,
c'est pas la mode à nos époques
qui coule à flot dans les familles,
l'éducation de nos enfants,
dans le commerce du textile,
il faudra gagner de l'argent.
Les pom-pom girls ont les regards des soleils noirs,
elles ont l'odeur des cheeseburgers prêtes à bouffer,
elles ont l'odeur de la CB.
Se faire un nom pour l'oublier,
la vie de merde qu'on a laissé,
dans les manifs, dans les cocktails,
ouais dans les cours des lycées
sous le soleil.
Dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées
sous le soleil,
dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées.
Dans le bus, le tramway,
dans les cours des lycées,
dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées sous le soleil,
dans les fabriques à chômeurs,
dans les salles des professeurs,
dans les fragiles de nos lueurs,
malheur à qui parle du cœur
dans le bus, le tramway,
dans les cours des lycées,
dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées
sous le soleil ...
il y repense,
il ne parle pas à ses vieux,
il prend le bus,
le mp3 y'a du métal dans les oreilles.
Il voit les vies de tous ces gens qui s'en vont droit aux abattoirs,
cet inutile qui nous surprend parfois qu'on verrait l'espoir.
Les pom-pom girls ont les regards
des soleils noirs,
elles ont l'odeur des cheeseburgers prêtes à bouffer,
elles ont l'odeur de la CB.
Les salles de classes qui se répètent,
les profs' qui ont tous l'air défoncés,
y a des matrix sur des tableaux,
trop d'inconnues dans l'équation.
Dans le bus, le tramway,
dans les cours des lycées,
dans les fabriques à chômeurs,
oui dans les salles des professeurs.
On est foutu, on est cerné,
passer l'éponge ou la jeter ?
Prendre les gants , aller boxer
dans les manifs',
dans les cocktails,
dans les soirées
sous le soleil.
Faut voir le niveau des musiques et les modèles de sociétés,
faut voir les radios qu'on écoute,
de quoi on parle dans les récrés,
faut voir les strings en apparence, dans les collèges, la jeunesse,
plus c'est vulgaire et plus ça fait mouiller le corps de nos armées.
C'est les Gucci, c'est du goût d'chiottes,
c'est le syndrome de nos époques,
c'est du Chanel, c'est du Dolce,
tu fais la belle et ça te plaît.
C'est du consommable, toujours.
Dis-moi c'est quand qu'on fait l'amour à d'autres qu'a des gilets pare-balles, qu'a des vérités qui font mal ?
Dans le bus, les tramways,
dans les cours des lycées,
dans les fabriques à chômeurs,
ouais dans les salles des professeurs.
On est foutu, on est cerné,
dans les couloirs, dans les allées,
dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées
sous le soleil ..
dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées
sous le soleil.
Sûr au pays des teenagers
c'est du Gucci, c'est du goût d'chiottes.
Malheur à qui parle du cœur,
c'est pas la mode à nos époques
qui coule à flot dans les familles,
l'éducation de nos enfants,
dans le commerce du textile,
il faudra gagner de l'argent.
Les pom-pom girls ont les regards des soleils noirs,
elles ont l'odeur des cheeseburgers prêtes à bouffer,
elles ont l'odeur de la CB.
Se faire un nom pour l'oublier,
la vie de merde qu'on a laissé,
dans les manifs, dans les cocktails,
ouais dans les cours des lycées
sous le soleil.
Dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées
sous le soleil,
dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées.
Dans le bus, le tramway,
dans les cours des lycées,
dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées sous le soleil,
dans les fabriques à chômeurs,
dans les salles des professeurs,
dans les fragiles de nos lueurs,
malheur à qui parle du cœur
dans le bus, le tramway,
dans les cours des lycées,
dans les manifs, dans les cocktails,
dans les soirées
sous le soleil ...
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