Charlotte de David Foenkinos
Présentation du roman
Dans ce roman, David Foenkinos nous montre la tragédie de l’ Holocauste
dans une façon différent, en retraçant la vie de cette jeune fille jetée dans
l’ Enfer sans meme le savoir. Ce qui m’a fasciné plus
pendant la lecture a été sans doute la claire différence entre elle et les autres membres de la famille de sa
mère. Nous voyons qu’elle n’est pas comme les autres suicides; elle a choisi de
vivre, la peinture lui a donné une nouvelle façon de se rapprocher à la vie,
pas en la refusant, mais pluôt en faisant revivre les moments joyeux de son
passé sur ses toiles. Tous ses
préoccupations semblent se dissoudre dans son âme pour être transportés sur la
toile. Mais le sanglant circle du destin doit etre fermé,
elle ne peut pas s’opposer; et sourtout elle ne peut pas contraster la brutale
férocité des Nazis, qui la condamne au lager. Les plusieurs morts de sa famille
semblent une descente aux enfers tous les fois pire, à partir du suicide pour
se terminer avec la fin de la progéniture et le plus cruel des destins: mourir
en portant dans le sein un enfant,
l’espoir d’un brillant avenir, détruite sans pitié. Ce roman nous ne permet pas
de détourner le regard des pages, il nous oblige à le lire avec impatience, même si nous connaissons déjà ce que sera la fin
tragique de la protagoniste.
La galerie de
personnages que Foenkinos nous donne est large et caractérisé par personnages
très complexes: on ne trouve pas des “flat characters”, sauf Alexander, le mari
di Charlotte, qui a un rôle secondaire dans le texte. Charlotte Salomon, la
protagoniste, est une jeune femme tourmenté par son passé et persécutée sans relâche
par la menace nazie; elle est le seule personnage dont l’auteur décrit toute la
vie. Franziska, sa mère, réincarne la figure de sa petite sœur, Charlotte. En
effet, les deux ont le désir de mettre fin à leur vie, les deux considérent le
suicide comme “une perfection dans la violence”. Albert et Paula, le père et la
belle-mère de Charlotte, représentent deux parents navré par les événements et
par l’ impossibilité de comprendre la souffrance de Charlotte, depuis l’adolescence:
ils sont deux figures aimables mais impuissants face à la domination naziste
qui s’étend sans cesse. On rétrouve la même souffrance aussi dans les grand
parents de Charlotte, mais ici elle est amplifié, il sont deux vieux usés par
les nombreuses tragédies qui ont marqué leur vies. En contraste avec ces
personnages, on trouve Alfred et Ottilie Moore. Le premier est le jeune professeur de musique de Paula,
dont Charlotte tombe amoureuse, et qui sera son inspiration pour la création de
son œuvre la plus celèbre: “Vie? ou Théâtre?”. IL est un homme créatif et
extravagant, il arrive dans la vie de Charlotte et s’éloigne, léger comme
l’air, presque indifférent à l’amour qu’elle lui démontre. Ottilie, une femme
agée qui vient des états- Units, elle est une philantrope qui prend à cœur la
cause des juifs et les accueille dans sa villa à Villefranche-sur-Mer, en Côte
d'Azur. Elle joue en rôle essentiel dans la vie artistique de Charlotte, parce que lui donne
protection et paix tandis qu'en Allemagne l'extermination nazie fait rage. Je
me suis pris d’affection aussi pour le doctor Moridis, à qui Charlotte donne
son œuvre, en disant: “C’est toute
ma vie”. Pendant qu’elle vie à l’Ermitage, la villa d’Ottilie, il agit comme
une figure paternelle et lui recommandre de peindre, de ne pas décher son
talent immense.
Le style de Foenkinos est très simple, mais c’est très intéressant la
choix d’écrire en Psaumes. Ils ne rendent pas la lecture plus lente, au
contraire ils donnent aux lecteurs la possibilité de s’arrêter quand ils
veulent et les pages défilent sans problème. J’ai trouvé admirable la recherce
effectué par Foenkinos, qui a déterré une histoire fascinant et bouleversant au
même temps. Cependant les innombrables morts, c’est un roman génial et bien
écrit, qui nous emmène dans l’immortelle tragédie de l’Olocauste, qui nous ne
permet pas d’oublier la brutalité qui a pris possession des hommes et qui a
conduit à un des plus grands massacres de l’histoire. À
réfléchir.
Alice
Lanzo II D ESABAC
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