vendredi 27 février 2015

ALICE LANZO II D ESABAC :David Foenkinos "Charlotte"





Charlotte de David Foenkinos 







Présentation du roman 



Dans ce roman, David Foenkinos nous montre la tragédie de l’ Holocauste dans une façon différent, en retraçant la vie de cette jeune fille jetée dans l’ Enfer sans meme le savoir. Ce qui m’a fasciné plus pendant la lecture a été sans doute la claire différence entre elle et les  autres membres de la famille de sa mère. Nous voyons qu’elle n’est pas comme les autres suicides; elle a choisi de vivre, la peinture lui a donné une nouvelle façon de se rapprocher à la vie, pas en la refusant, mais pluôt en faisant revivre les moments joyeux de son passé sur ses toiles. Tous ses préoccupations semblent se dissoudre dans son âme pour être transportés sur la toile. Mais le sanglant circle du destin doit etre fermé, elle ne peut pas s’opposer; et sourtout elle ne peut pas contraster la brutale férocité des Nazis, qui la condamne au lager. Les plusieurs morts de sa famille semblent une descente aux enfers tous les fois pire, à partir du suicide pour se terminer avec la fin de la progéniture et le plus cruel des destins: mourir en portant dans le sein un enfant, l’espoir d’un brillant avenir, détruite sans pitié. Ce roman nous ne permet pas de détourner le regard des pages, il nous oblige à le lire avec impatience, même si nous connaissons déjà ce que sera la fin tragique de la protagoniste.

La galerie de personnages que Foenkinos nous donne est large et caractérisé par personnages très complexes: on ne trouve pas des “flat characters”, sauf Alexander, le mari di Charlotte, qui a un rôle secondaire dans le texte. Charlotte Salomon, la protagoniste, est une jeune femme tourmenté par son passé et persécutée sans relâche par la menace nazie; elle est le seule personnage dont l’auteur décrit toute la vie. Franziska, sa mère, réincarne la figure de sa petite sœur, Charlotte. En effet, les deux ont le désir de mettre fin à leur vie, les deux considérent le suicide comme “une perfection dans la violence”. Albert et Paula, le père et la belle-mère de Charlotte, représentent deux parents navré par les événements et par l’ impossibilité de comprendre la souffrance de Charlotte, depuis l’adolescence: ils sont deux figures aimables mais impuissants face à la domination naziste qui s’étend sans cesse. On rétrouve la même souffrance aussi dans les grand parents de Charlotte, mais ici elle est amplifié, il sont deux vieux usés par les nombreuses tragédies qui ont marqué leur vies. En contraste avec ces personnages, on trouve Alfred et Ottilie Moore. Le premier est le  jeune professeur de musique de Paula, dont Charlotte tombe amoureuse, et qui sera son inspiration pour la création de son œuvre la plus celèbre: “Vie? ou Théâtre?”. IL est un homme créatif et extravagant, il arrive dans la vie de Charlotte et s’éloigne, léger comme l’air, presque indifférent à l’amour qu’elle lui démontre. Ottilie, une femme agée qui vient des états- Units, elle est une philantrope qui prend à cœur la cause des juifs et les accueille dans sa villa à Villefranche-sur-Mer, en Côte d'Azur. Elle joue en rôle essentiel  dans la vie artistique de Charlotte, parce que lui donne protection et paix tandis qu'en Allemagne l'extermination nazie fait rage. Je me suis pris d’affection aussi pour le doctor Moridis, à qui Charlotte donne son œuvre, en disant: “C’est  toute ma vie”. Pendant qu’elle vie à l’Ermitage, la villa d’Ottilie, il agit comme une figure paternelle et lui recommandre de peindre, de ne pas décher son talent immense.

Le style de Foenkinos est très simple, mais c’est très intéressant la choix d’écrire en Psaumes. Ils ne rendent pas la lecture plus lente, au contraire ils donnent aux lecteurs la possibilité de s’arrêter quand ils veulent et les pages défilent sans problème. J’ai trouvé admirable la recherce effectué par Foenkinos, qui a déterré une histoire fascinant et bouleversant au même temps. Cependant les innombrables morts, c’est un roman génial et bien écrit, qui nous emmène dans l’immortelle tragédie de l’Olocauste, qui nous ne permet pas d’oublier la brutalité qui a pris possession des hommes et qui a conduit à un des plus grands massacres de l’histoire. À réfléchir.
                                                                                                                                                                         Alice Lanzo II D ESABAC

 




Charlotte” a été traduit en italien par Elena Cappellini








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