samedi 13 janvier 2018

Ce que le jour doit à la nuit d'Alexandre Arcady d'après le roman de Yasmina Khadra



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De Alexandre Arcady 2012 (2h. 39 minutes)



Genres DrameHistoriqueRomance


Nationalité Français


Liceo classico "Cairoli" Varese
Salle de Géo 
lundi le 15 janvier 2018




Algérie, années 1930. Younes a 9 ans lorsqu'il est confié à son oncle pharmacien à Oran. Rebaptisé Jonas, il grandit parmi les jeunes de Rio Salado dont il devient l'ami. Dans la bande, il y a Emilie, la fille dont tous sont amoureux. Entre Jonas et elle naîtra une grande histoire d'amour, qui sera bientôt troublée par les conflits qui agitent le pays.





dossier   




« À Oran comme ailleurs, faute de temps et de réflexion,

 on est bien obligé de s’aimer sans le savoir. »

 Albert Camus, La Peste.


 « J’aime l’Algérie, car je l’ai bien ressentie. » 

Gabriel García Márquez


Yasmina-Khadra











Le titre du film est une métaphore dont la compréhension nécessiterait une compétence interprétative et un sens critique. Il est en quelque sorte un condensé de sens enveloppé de mystères pour celles et ceux qui s’interrogent sur son lien avec l’histoire racontée, car qu’est-ce que le jour pourrait bien devoir à la nuit ? On n’en sait rien, dès lors qu’ils n’ont pas de langage à nous livrer. Cela dit, les romanciers, les poètes et les cinéastes, à l’instar des persuasives paraboles bibliques et coraniques, attribuent au jour et à la nuit des caractéristiques humaines. Il semble que l’écrivain, Yasmina Khadra, recourt, en suivant le modèle d’écriture des livres classiques, à ce style imagé pour inscrire son roman dans la durée, afin qu’il soit gravé dans les mémoires collectives et individuelles des lecteurs et spectateurs amoureux de la langue française. Par ailleurs, si l’on mettait à la place de la dichotomie « Jour/Nuit », celle qui rime avec « Jonas/Émilie », le titre paraîtrait sans doute moins ambigu, Ce que Jonas doit à Émilie, mais le sens reste cependant moins dénoté que l’on pourrait le croire. En d’autres termes, dire que Jonas représente le « jour » et Émilie la « nuit » ne résout pas le problème, parce que les deux protagonistes incarnent dans le roman et le film les irréductibles liens passionnels entre l’Algérie et la France, depuis au moins l’année 1830. Le titre Ce que l’Algérie doit à la France, dans ce cas, aurait été plus explicite et plus significatif. Il appartient désormais à un lecteur/spectateur idéal de parcourir tous ces détours sémantiques, de réunir toutes les isotopies idoines, pour rendre compte des liens d’amour et de fraternité, mis en scène, reliant les deux patries respectives. À défaut d’être un critique littéraire, analyste quelconque ou sémioticien, une simple comparaison suffit de symboliser Ce que le jour doit à la nuit cette nécessaire relation cyclique : comme les amoureux, le jour et la nuit ne se croisent que pour se séparer et ne se séparent que pour se retrouver. À proprement parler, même si le jour et la nuit expriment, dans leur course, le temps qui passe et qui ne revient pas, le titre de ce long métrage suggère éloquemment une autre réalité ; il nous fait comprendre que le jour, c’est-à-dire le présent, doit quelque chose à la nuit qui le précède, le passé, pour la construction d’un avenir meilleur. Dans d’autres langues que le français, le titre serait probablement terne et plat. La culture française en Algérie à l’époque

Atmane Seghir 




jeudi 11 janvier 2018

Naissance de l'État d'Israël : 1948



Israël et les territoires occupés

Discours de Ben Gourion en 1948










David Ben Gourion et la fondation d'Israël 



David Ben Gourion et la fondation d'Israël 





Palestine Israël pour les nuls - 

Qu'est ce que le sionisme ? (1)




Palestine Israël pour les nuls - 

Qui attaque qui ? (2)




Israël-Palestine : 

comprendre le conflit par les cartes








lundi 8 janvier 2018

Grand Corps Malade : Au feu rouge




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Heureusement, j'n'ai pas d'enfant se dit Yadna très souvent
Ce serait encore plus dur, encore plus humiliant

Et puis comment elle aurait fait avec un bébé comme paquetage ?
Est-ce qu'il aurait survécu après tout c'voyage ?
Yadna a fui les bombes, la guerre dans son pays
Elle sait qu'elle avait peur mais ne sait plus de quels ennemis
Entre les tirs de son président, des rebelles, de l'occident
De Daesh et des Kurdes, elle ne sait plus d'où vient l'vent
Elle ne sait plus d'où vient la poudre qui a rasé son village
Elle ne sait plus qui tire les balles qui ont éteint tous ces visages
Elle sait juste que l'Homme est fou et qu'c'est là-bas, en Syrie
Que s'est formé petit à p'tit l'épicentre de sa folie
Yadna pense à tout ça en s'approchant d'ma vitre
Moi, j'lui : "Non" avec la main et j'redémarre bien vite
J'avais p't-être un peu d'monnaie mais j'suis pressé, faut qu'je bouge
J'me rappelle de son regard, j'ai croisé Yadna au feu rouge

Après trois mois d'périple dans toutes sortes d'embarcations
Elle a souvent cru qu'la mort serait la seule destination
Comme lors de cette nuit noire au milieu d'la mer Égée
Dépassée par les vagues sur un bateau bien trop léger
Entre les centres de rétention et les passeurs les plus cruels
Yadna a perdu d'vue tous ceux qui avaient fui avec elle
Elle s'est retrouvée seule avec la peur, le ventre vide
Et des inconnus aussi perdus qu'elle comme seuls guides
Marchant pendant des semaines puis payant à des vautours
Le droit d'se cacher à l'arrière des camions sans voir le jour
Après ces mois d'enfer, elle passe ses nuits sur un carton
Son Eldorado se situe Porte de la Chapelle, sous un pont
Yana pense à tout ça en s'approchant d'ma vitre
Moi, j'lui : "Non" avec la main et j'redémarre bien vite
J'avais p't-être un peu d'monnaie mais j'suis pressé, faut qu'je bouge
J'me rappelle de son regard, j'ai croisé Yadna au feu rouge

Dans ses nuits, les cauchemars d'expulsion sont réguliers
Elle attend d'obtenir le statut d'réfugiée
Elle mendie au feu rouge avec la détresse comme baîllon
Elle se renseigne sur ses droits, petite princesse en rayon
Elle imagine parfois sa vie d'étudiante dans son pays
Si la justice avait des yeux, si la paix régnait en Syrie
Elle sourit même parfois, quand elle trouve la force d'y penser
Elle rêve en syrien mais, là, elle pleure en français
J'aperçois Yadna rapidement lorsque l'feu passe au vert
J'ai un p'tit pincement au cœur, mais j'suis en retard et j'accélère
Les plus grands drames sont sous nos yeux mais on est pressé, faut qu'on bouge
Y'a des humains derrière les regards ; j'ai croisé Yadna au feu rouge



dimanche 31 décembre 2017

BONNE ANNÉE 2018 avec Fréhel : La java bleue" - Lucienne Delyle : "Mon amant de Saint-Jean"


Que la Curiositas  puisse 
Vous accompagner 
pour toute l'Année !


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Ce soir pour fêter la Nouvelle Année je publie  2 chansons, avec un petit peu de paisible   nostalgie ,  pour moi celles-ci me  rappellent le bon vieux  temps du "liscio" à  Varzi (Combien de carnavals ai-je passé dans cette salle ???) Casteggio,  Ponte Nizza, Montegioco et une foule de petits villages qui nous accueillaient le vendredi ou bien le dimanche soir pour aller danser la valse (à Oramala la petite piste  côtoyait un précipice !).
Parfois en rentrant de Chambéry, mon père m'attendait à la gare de Tortona et  me reconduisait à la maison, à Castagnola, embrasser ma mère ... et repartir danser. Il  rigolait en se souvenant qu'à son époque personne ne pouvait aller le chercher en voiture, il avait ses chaussures pour marcher,  il lui fallait se promener pour une heure ou plus,  et celles pour danser ... 






C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue

Il est au bal musette
Un air rempli de douceur
Qui fait tourner les têtes
Qui fait chavirer les cœurs
Quand on la danse á  petits pas
Serrant celle qu'on aime dans ses bras
On lui murmure dans un frisson
En écoutant chanter l'accordéon.


C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue

" Chérie, sous mon étreinte,
Je veux te serrer plus fort
Pour mieux garder l'empreinte
Et la chaleur de ton corps ".
Que de promesses, que de serments
On se fait dans la folie d'un moment.
Car sous serment, remplis d'amour,
On sait que çâ ne durera pas toujours.

Mais, c'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux.
Au rythme joyeux
Quand deux cœurs se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue.

Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux,
C'est la java bleue.





Je ne sais pourquoi j'allais danser
A Saint-Jean, au musette,
Mais il m'a suffi d'un seul baiser
Pour que mon cœur soit prisonnier.

Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers.

Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être,
Beau parleur, chaque fois qu'il mentait,
Je le savais, mais, je l'aimais.

Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers.

Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs,
Un serment n'est qu'un leurre,
J'étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son cœur.

Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux,
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l'aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m'aime plus, c'est du passé, n'en parlons plus.



Humour le chat de Geluck: Le médecin et la vérité


Ne vous en faites pas j’ai 
ma musique et mes chansons !




vendredi 29 décembre 2017

La guerre des boutons de Yann Samuel (2011), d'après l'oeuvre de Louis Pergaud





SYNOPSIS 


1960, un village dans le sud de la France. Une bande de garçons, âgés de 7 à 14 ans, menée par l’intrépide Lebrac, est en guerre contre les enfants du village voisin, leurs ennemis jurés. Une guerre sans merci, qui dure depuis des générations. On se bat pour l’honneur et la fidélité et, pour gagner, tous les moyens sont bons. Même, s’il le faut, combattre nu comme un ver, ou pire, accepter l’aide de Lanterne - une fille ! - la nouvelle recrue de la bande, pleine de panache et d’ingéniosité. Mais il n’est pas facile d’être une armée de petits hommes sans se faire attraper par Papa et Maman ! Quand, après la bataille, on rentre à la maison, les vêtements en lambeaux et des boutons en moins, mieux vaut se faire discret…








zerodeconduite


Le roman, écrit en 1912, a été repris de nombreuses fois, ce qui le
rend un élément fort du patrimoine culturel français.
L’action du film se place dans les années 60 avec pour fond 
historique la guerre d’Algérie (1954 – 1962). Ceci permet
d’aborder la situation sociale et politique de cette époque.
La façon dont Yann Samuell aborde les rapports entre enfants
permet d'autre part d’échanger en classe sur les relations entre
pairs :
• le respect des autres,
• les principes de l’égalité des filles et des garçons,

• l’entraide









Résumé du roman

L'histoire se situe quelque part en France, entre les pauvres villages de Longeverne et de Velrans. Sans raison, deux frères de Longeverne se font traiter de "couilles molles" par un groupe d'écoliers de l'autre village. Dans le préau, les Longeverne s'entendent alors pour riposter à cet affront, dont tous ne connaissent pas l'exacte signification, et organisent des représailles guerrières le soir même. Emmenés par leur chef Lebrac, les Longeverne gagnent une première bataille à coups de pierres et d'épées de bois et capturent un ennemi à qui Lebrac fait sauter tous les boutons de ses habits. Ce déshonneur provoque la riposte des Velrans qui, le lendemain, capturent Lebrac et lui font subir le même affront. Lebrac s'en rentre chez lui honteux et dépenaillé, ce qui lui vaut de bonnes raclées de ses parents. Ainsi germe chez lui l'idée de se battre tout nu. Ce stratagème permet aux Longeverne de remporter à nouveau une bataille. En dépit de ses médiocres performances scolaires, Lebrac parvient même à solidariser ses camarades autour d'une caisse commune de prévoyance. Mais les Velrans n'ont pas dit leur dernier mot…








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dimanche 24 décembre 2017

EVA "Oui nous referons un monde"








Oui
nous referons

un monde !!!



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Oui nous referons un monde
Plein de fleurs et de colombes
Un immense champ de blé
Où il fera bon s'aimer

Oui nous referons un monde
Sur cette terre blonde
Les enfants pourront danser
Dans un éternel été

Nous ouvrirons nos maisons
Pour faire entrer la lumière
Et nous ferons les moissons
Au long des quatre saisons

Oui nous referons un monde
Plein de fleurs et de colombes
Un immense champ de blé
Où il fera bon s'aimer



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vendredi 15 décembre 2017

Varese le 16 décembre: PROMENADE ANTIFASCISTE - Michel Fugain : La bête immonde



Sabato c’è la passeggiata antifascista

"La liberté est comme l'air"






Elle est vivante, elle a encore
La haine au ventre, la rage au corps
La bête immonde 

Qu'elle tourne au loin comme un vautour
Ou Rampe et ronge tout autour
La bête immonde 

Depuis le temps qu'elle fait le trou
De sa tanière grise
Là-bas, ici, partout 

Au coeur de chacun de nous
Elle est l'enfant que la bêtise
A conçu avec l'ombre
La bête immonde 


Depuis le temps qu'on laisse faire
Tous les suppôts de son enfer
La bête immonde 




Qu'elle a vomi des Gestapo
Dans toutes les guerres, tous les ghettos
La bête immonde 


Que les salauds dans les salons
Lui trouvent des excuses
Lui trouvent des raisons
Plébiscitées par les cons
Elle est la fille de la ruse
Qui naît des décombres
La bête immonde 


O pleure, pleure ma mère la terre
Des larmes de siècles et de sang
O pleure, pleure des gouttes d'océan

Sur les chants qui montent des wagons
Les camps, les tortionnaires
Les frères qui clouent leurs frères
Au poteau des religions 


O pleure ma mère la terre
Au fond de tes entrailles gronde
La bête immonde 

Mais qui va lui planter un  pieu dans le coeur ?
Qui va l'amputer du goût de l'horreur ?

Elle qui étrangle les ethnies
massacre les poètes
Étouffe les hommes honnêtes
Au bâillon des calomnies
Il lui faut faire sauter la tête
Avec sa propre bombe
La bête immonde 


Depuis qu'elle nous pollue l'histoire
A coup de glaive, à coup de gloire
La bête immonde 


Que son crachat sur ton drapeau
Dépend de la couleur de peau
La bête immonde

Depuis qu'elle rôde avec sa faux
Emblème de son règne
Depuis qu'elle dit Je t'aime
Aux cagoules, aux échafauds
Il faut cribler de chrysanthèmes
Jusqu'à ce qu'elle succombe
La bête immonde 


O pleure, pleure ma mère la terre
Des larmes de siècles et de sang
O pleure, pleure des gouttes d'océan

Sur les bouquins, dans les bûchers
Les cris des ratonnades
Sur les croix des croisades
Et les continents barbelés 


O pleure, ma mère la terre
Au fond de tes entrailles gronde
La bête immonde

Mais qui va lui planter le pieu dans le coeur ?
Qui va l'amputer du goût de l'horreur ?

O pleure, ma mère la terre
Au fond de tes entrailles gronde
La bête immonde

O pleure, ma mère la terre
Au fond de tes entrailles gronde
La bête immonde.
 



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mardi 12 décembre 2017

ROSE : La liste - Ciao Bella




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1   Aller à un concert
  2
   Repeindre ma chambre en vert
  3
   Boire de la vodka
  4
   Aller chez Ikea
  5
   Mettre un décolleté
  6
   Louer un meublé
  7
   Et puis tout massacrer
  8
   Pleurer pour un rien
  9
   Acheter un chien
 10
  Faire semblant d’avoir mal
 11
  Et mettre les voiles
 12
  Fumer beaucoup trop
 13
  Prendre le métro
 14
  Et te prendre en photo
 15  Jeter tout par les fenêtres
 16
  T’aimer de tout mon être
 17
  Je ne suis bonne qu’à ça
 18
  Est ce que ça te déçoit ?
 19
  J’ai rien trouvé de mieux à faire
 20
  Et ça peut paraître bien ordinaire
 21
  Et c’est la liste des choses que je veux faire avec toi
 22  Te faire mourir de rire
 23
  Aspirer tes soupirs
 24
  M’enfermer tout le jour
 25
  Écrire des mots d’amour
 26
  Boire mon café noir
 27
  Me lever en retard
 28
  Pleurer sur un trottoir
 29
  Me serrer sur ton cœur
 30
  Pardonner tes erreurs
 31
  Jouer de la guitare
 32
  Danser sur un comptoir
 33
  Remplir un caddie
 34
  Avoir une petite fille
 35
  Et passer mon permis

 36  Jeter tout par les fenêtres
 37
  T’aimer de tout mon être
 38
  Je ne suis bonne qu’à ça
 39
  Est ce que ça te déçoit ?
 40
  J’ai rien trouvé de mieux à faire
 41
  Et ça peut paraître bien ordinaire
 42
  Et c’est la liste des choses que je veux faire avec toi

 43  Ha ha
 44
  Ha ya
 45
  Ha ya
 46
  Ha ha

 47  Je sais je suis trop naïve
 48
  De dresser la liste non exhaustive
 49
  De toutes ces choses que je voudrais faire avec toi

 50  T’embrasser partout
 51
  S’aimer quand on est saouls
 52
  Regarder les infos
 53
  Et fumer toujours trop
 54
  Éveiller tes soupçons
 55
  Te demander pardon
 56
  Et te traiter de con
 57
  Avoir un peu de spleen
 58
  Écouter Janis Joplin
 59
  Te regarder dormir
 60
  Me regarder guérir
 61
  Faire du vélo à deux
 62
  Se dire qu’on est heureux
 63
 
 Emmerder les envieux. 


Vocabulaire

(l.4) Ikea = magasin de meubles suédois à assembler
(l.6) un meublé = un appartement meublé, avec des meubles
(l.7) massacrer = détruire
(l.8) pour un rien = très facilement
(l.11) mettre les voiles (familier) = s’en aller
(l.20) ordinaire = simple, habituel
(l.32) un comptoir = la partie qui sépare les clients des serveurs
(l.33) un caddie = un chariot de supermarché
(l.47) naïf = innocent, simple
(l.48) exhaustif = complet
(l.51) être saoul = avoir trop bu
(l.52) regarder les infos = regarder le journal télévisé, regarder les nouvelles
(l. 54) un soupçon = un doute
(l.56) con (familier) = bête, stupide, idiot
(l.57) spleen = état mélancolique ressenti par certains poètes comme Baudelaire
(l.58) Janis Joplin = chanteuse légendaire de rock
(l.63) emmerder (familier) = embêter, énerver

(l.63) les envieux = ceux qui sont jaloux de (la situation de) quelqu’un

Activités
·        Repérez les verbes
o   Dans le clip, quels sont les verbes notés sur des bouts de papier ?

·        Listez les activités
o   Quelles sont celles que vous aimez faire ?
§  J’aime...
o   Quelles sont celles que vous avez l’habitude de faire ?
§  J’ai l’habitude de...
o   Quelles sont celles que vous voudriez faire ?
§  Je voudrais...

o   Que pensez-vous des activités listées par la chanteuse ?
§  Je pense que... Je trouve que... Je crois que...

o   Comparez les activités de la chanteuse avec vos activités ?

·        Que pensez-vous de cette chanson ?
o    D’après vous, quel est le message de la chanson ?
o   À qui s’adresse-t-elle ?





Au dessus de mon front
où il tire la ficelle
de mes rèves et de mes démons
se font toujours la belle
de large des grands fonds 
et jusqu'aprés la terre
ha ha
je les sens ainsi fond les yeux de mon grand père
haha

ciao bella
les autres on s'en fout
ciao bella
les autres c'est pas nous
ciao bella
tu manques à  ma vie
ciao bella
jamais je n'oublie ta voix 


au-delà des etoiles
des rives du bon dieu 
Lui  sur sa jolie toile
il tisse tous mes voeux
au détour d'un chagrin
à  l'angle de mes larmes
il se fraye un chemin 
 et défaits tous mes drames 

ciao bella
les autres on s'en fout
ciao bella
les autres c'est pas nous
ciao bella
tu manques à  ma vie
ciao bella
jamais je n'oublie ta voix 



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