Mon Ami Giuseppe ne connaît pas Joe Dassin
voilà 4 chansons qui ont créé son mythe
Et si tu n'existais pas
Dis-moi pourquoi j'existerais
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regret
Et si tu n'existais pas
J'essaierais d'inventer l'amour
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour
Et qui n'en revient pas
Et si tu n'existais pas
Dis-moi pour qui j'existerais
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n'aimerais jamais
Et si tu n'existais pas
Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va
Je me sentirais perdu
J'aurais besoin de toi
Et si tu n'existais pas
Dis-moi comment j'existerais
Je pourrais faire semblant d'être moi
Mais je ne serais pas vrai
Et si tu n'existais pas
Je crois que je l'aurais trouvé
Le secret de la vie, le pourquoi
Simplement pour te créer
Et pour te regarder
Et si tu n'existais pas
Dis-moi pourquoi j'existerais
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regret
Et si tu n'existais pas
J'essaierais d'inventer l'amour
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour
Et qui n'en revient pas
A toi, à la façon que tu as d’être belle
A la façon que tu as d’être à moi
A tes mots tendres un peu artificiels quelquefois,
A toi, à la petite fille que tu étais
A celle que tu es encore souvent
A ton passé, à tes secrets,
A tes anciens princes charmants
A la vie, à l’amour
A nos nuits, à nos jours
A l’éternel retour de la chance
A l’enfant qui viendra
Qui nous ressemblera
Qui sera à la fois toi et moi
A moi, à la folie dont tu es la raison
A mes colères sans savoir pourquoi
A mes silences et à mes trahisons quelquefois
A moi, au temps que j’ai passé à te chercher
Aux qualités dont tu te moques bien
Aux défauts que je t’ai cachés
A mes idées de baladin
A la vie, à l’amour
A nos nuits, à nos jours
A l’éternel retour de la chance
A l’enfant qui viendra
Qui nous ressemblera
Qui sera à la fois toi et moi
A nous, aux souvenirs que nous allons nous faire
A l’avenir et au présent surtout
A la santé de cette vieille terre qui s’en fout
A nous, à nos espoirs et à nos illusions
A notre prochain premier rendez-vous
A la santé de ces millions d’amoureux
Qui sont comme nous
A toi, à la façon que tu as d’être belle
A la façon que tu as d’être à moi
A tes mots tendres un peu artificiels quelquefois,
A toi, à la petite fille que tu étais
A celle que tu es encore souvent
A ton passé, à tes secrets,
A tes anciens princes charmants
Il était un peu poète et un peu vagabond
Il n'avait jamais connu ni patrie, ni patron
Il venait de n'importe oû, allait aux quatre vents
Mais dedans sa roulotte nous étions dix enfants
Et le soir, autour d'un feu de camp
On rêvait d'une maison blanche en chantant
Qu'il est long, qu'il est loin, ton chemin, papa
C'est vraiment fatiguant d'aller oû tu vas
Qu'il est long, qu'il est loin, ton chemin, papa
Tu devrais t'arrêter dans ce coin
Mais il ne nous écoutait pas et dès le petit jour
La famille reprenait son voyage au long cours
À peine le temps pour notre mère de laver sa chemise
Et nous voilà repartis pour une nouvelle Terre Promise
Et le soir, autour d'un feu de camp
Elle rêvait d'une maison blanche en chantant
Qu'il est long, qu'il est loin, ton chemin, papa
C'est vraiment fatiguant d'aller oû tu vas
Qu'il est long, qu'il est loin, ton chemin, papa
Tu devrais t'arrêter dans ce coin
Et c'est ainsi que cahotant à travers les saisons
C'est ainsi que regardant par-dessus l'horizon
Sans même s'en apercevoir not' père nous a semés
Aux quatre coins du monde comme des grains de blé
Et quelque part au bout de l'univers
Roule encore la vieille roulotte de mon père
Qu'il est long, qu'il est loin, ton chemin, papa
C'est vraiment fatiguant d'aller oû tu vas
Qu'il est long, qu'il est loin, ton chemin, papa
Tu devrais t'arrêter dans ce coin
Les
matins se suivent et se ressemblent
Quand l'amour fait place au quotidien
On n'était pas fait pour vivre ensemble
Ça n'suffit pas toujours de s'aimer bien
C'est drôle, hier, on s'ennuyait
Et c'est à peine si l'on trouvait
Des mots pour se parler du mauvais temps
Et maintenant qu'il faut partir
On a cent mille choses à dire
Qui tiennent trop à cœur pour si peu de temps
On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement, sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien
On fait c'qu'il faut, on tient nos rôles
On se regarde, on rit, on crâne un peu
On a toujours oublié quelque chose
C'est pas facile de se dire adieu
Et l'on sait trop bien que tôt ou tard
Demain peut-être, ou même ce soir
On va se dire que tout n'est pas perdu
De ce roman inachevé, on va se faire un conte de fées
Mais on a passé l'âge, on n'y croirait plus
On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement, sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien
Roméo, Juliette, et tous les autres
Au fond de vos bouquins, dormez en paix
Une simple histoire comme la nôtre
Est de celles qu'on écrira jamais
Allons petite il faut partir
Laisser ici nos souvenirs
On va descendre ensemble si tu veux
Et quand elle va nous voir passer
La patronne du café
Va encore nous dire " Salut les amoureux "
On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement, sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien ...
Quand l'amour fait place au quotidien
On n'était pas fait pour vivre ensemble
Ça n'suffit pas toujours de s'aimer bien
C'est drôle, hier, on s'ennuyait
Et c'est à peine si l'on trouvait
Des mots pour se parler du mauvais temps
Et maintenant qu'il faut partir
On a cent mille choses à dire
Qui tiennent trop à cœur pour si peu de temps
On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement, sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien
On fait c'qu'il faut, on tient nos rôles
On se regarde, on rit, on crâne un peu
On a toujours oublié quelque chose
C'est pas facile de se dire adieu
Et l'on sait trop bien que tôt ou tard
Demain peut-être, ou même ce soir
On va se dire que tout n'est pas perdu
De ce roman inachevé, on va se faire un conte de fées
Mais on a passé l'âge, on n'y croirait plus
On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement, sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien
Roméo, Juliette, et tous les autres
Au fond de vos bouquins, dormez en paix
Une simple histoire comme la nôtre
Est de celles qu'on écrira jamais
Allons petite il faut partir
Laisser ici nos souvenirs
On va descendre ensemble si tu veux
Et quand elle va nous voir passer
La patronne du café
Va encore nous dire " Salut les amoureux "
On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement, sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien ...
Mais que textes magnifiques et mélancoliques!
RépondreSupprimerP.s. ...Ça va bien prof...?