L'attention que ce beau film a engendrée ce matin en classe
(I D ESABAC) m'a plu, que de silence et de participation ...
de la part aussi de Mme Soresina, qui a été obligée de nous
quitter pour changer de classe à 10 h.
On dit de Lou qu'elle est une enfant précoce...
mais, aujourd'hui, mes élèves aussi avaient tout à coup grandi
face aux péripéties de notre héroïne qui, sous le visage de la pâleur
innocente de Nina Rodriguez, nous a donné quelques frissons
inoubliables... MERCI!... J'attends maintenant vos exposés.
L’ORIGINE DU LIVRE “Au tout début, c’est une image qui me heurte, presque chaque matin, et qui finit par me hanter: ces silhouettes perdues, ici ou là, sur le boulevard Richard-Lenoir, dans la morsure de l’hiver; des jeunes femmes aussi, parfois seules avec leur chien, parfois entourées d’hommes. Ainsi naît l’envie d’écrire autour de ça, d’approcher par l’écriture quelque chose qui me heurte et que je ne connais pas. Je n’ai pas écrit ce livre pour délivrer un quelconque message. Mais je me dis que l’écriture peut rendre compte, par la fiction, d’une image qui me blesse. C’est une manière d’être au monde, sans doute, de lui tendre un miroir, peut-être de l’apprivoiser.” LA CRÉATION DES PERSONNAGES “Il y a d’abord eu No, puis Lou, puis sans doute ses parents. Lucas est venu plus tard. Au départ, je pensais que Lou ne serait qu’une voix qui rendrait compte d’une situation. Une médiatrice entre No, plus abrupte, et le lecteur...
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