Que la Curiositas puisse
Vous accompagner
Vous accompagner
pour toute l'Année !
Ce soir pour fêter la
Nouvelle Année je publie 2 chansons, avec un petit peu de paisible nostalgie , pour moi celles-ci me rappellent le bon vieux temps du "liscio" à Varzi (Combien de carnavals ai-je passé dans cette salle ???)
Casteggio, Ponte Nizza, Montegioco et une foule de petits villages qui
nous accueillaient le vendredi ou bien le dimanche soir pour aller danser
la valse (à Oramala la petite piste côtoyait un précipice !).
Parfois en rentrant de Chambéry, mon père m'attendait à la gare de Tortona et me reconduisait à la maison, à Castagnola, embrasser ma mère ... et repartir danser. Il rigolait en se souvenant qu'à son époque personne ne pouvait aller le chercher en voiture, il avait ses chaussures pour marcher, il lui fallait se promener pour une heure ou plus, et celles pour danser ...
C'est
la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand
on la danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue
Il est au bal musette
Un air rempli de douceur
Qui fait tourner les têtes
Qui fait chavirer les cœurs
Quand on la danse á petits pas
Serrant celle qu'on aime dans ses bras
On lui murmure dans un frisson
En écoutant chanter l'accordéon.
C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue
" Chérie, sous mon étreinte,
Je veux te serrer plus fort
Pour mieux garder l'empreinte
Et la chaleur de ton corps ".
Que de promesses, que de serments
On se fait dans la folie d'un moment.
Car sous serment, remplis d'amour,
On sait que çâ ne durera pas toujours.
Mais, c'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux.
Au rythme joyeux
Quand deux cœurs se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue.
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux,
C'est la java bleue.
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue
Il est au bal musette
Un air rempli de douceur
Qui fait tourner les têtes
Qui fait chavirer les cœurs
Quand on la danse á petits pas
Serrant celle qu'on aime dans ses bras
On lui murmure dans un frisson
En écoutant chanter l'accordéon.
C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue
" Chérie, sous mon étreinte,
Je veux te serrer plus fort
Pour mieux garder l'empreinte
Et la chaleur de ton corps ".
Que de promesses, que de serments
On se fait dans la folie d'un moment.
Car sous serment, remplis d'amour,
On sait que çâ ne durera pas toujours.
Mais, c'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux.
Au rythme joyeux
Quand deux cœurs se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue.
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux,
C'est la java bleue.
Je ne sais pourquoi j'allais danser
A Saint-Jean, au musette,
Mais il m'a suffi d'un seul baiser
Pour que mon cœur soit prisonnier.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers.
Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être,
Beau parleur, chaque fois qu'il mentait,
Je le savais, mais, je l'aimais.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers.
Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs,
Un serment n'est qu'un leurre,
J'étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son cœur.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux,
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l'aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m'aime plus, c'est du passé, n'en parlons plus.
A Saint-Jean, au musette,
Mais il m'a suffi d'un seul baiser
Pour que mon cœur soit prisonnier.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers.
Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être,
Beau parleur, chaque fois qu'il mentait,
Je le savais, mais, je l'aimais.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers.
Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs,
Un serment n'est qu'un leurre,
J'étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son cœur.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux,
Car l'on croit toujours aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi, qui l'aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m'aime plus, c'est du passé, n'en parlons plus.
Ne vous en faites
pas j’ai
ma musique et mes chansons !